Journée d’actualité : Bâle 3

Bâle 3 : quel pilotage efficient des risques ?
Les meilleurs dispositifs d’analyse, de gestion et de contrôle des risques
Jeudi 20 novembre 2014 – Paris

Bâle 3

Le Comité de Bâle, chargé de coordonner la régulation internationale du secteur bancaire, a décidé d’étaler sur quatre ans à partir de janvier 2015, la mise en application de la règle du “ratio de liquidité à court terme” (LCR, liquidity coverage ratio), tout en élargissant entre autres aux actions et aux prêts immobiliers résidentiels titrisés (RMBS, notés AA ou mieux) la gamme des actifs éligibles à ces réserves de liquidités.

Les nouvelles règles du Comité de Bâle vise principalement à :

  • Renforcer le niveau et la qualité des fonds propres (« tier one et core tier one »),
  • Mettre en place un ratio de levier (« leverage ratio »),
  • Améliorer la gestion du risque de liquidité par la création de deux ratios de liquidité (ratio de liquidité à un mois « Liquidité coverage ratio » et ratio de liquidité à un an « Net stable funding ratio »),
  • Renforcer les exigences prudentielles concernant le risque de contrepartie.

Ces nouvelles règles du jeu auront des conséquences micro et macroéconomiques majeures : limitation des engagements très longs, abandon de certaines activités, course aux dépôts, désintermédiation du financement des entreprises… et des conséquences sur la BFI : vers un modèle économe en ressource.
Les cessions de certaines activités de financement et de portefeuilles de prêts qui pèsent lourds dans les bilans sont l’autre voie qu’ont privilégiée les banques.
Dans ce contexte, les initiatives de sociétés de gestion d’actifs et d’investisseurs institutionnels se multiplient afin de profiter d’une plus grande désintermédiation du financement de l’économie.

Durant cette journée, à travers une alternance d’exposés et de débats sur des thèmes définis en étroite collaboration avec les intervenants, nous vous proposons d’aborder les thèmes suivants : Bâle 3, un point sur les avancées réglementaires, où en est-on dans la mise en œuvre de Bâle 3 ? Activité de notation et rôle dans la gestion des risques, les impacts de Bâle 3 sur les stratégies et les business models, quelle évolution des modèles de portefeuille de crédit ? Modélisation du risque en dynamique et avec prise en compte du cycle, Risque systémique et charge en capital…
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Parmi les experts qui partageront leur point de vue et vous feront partager leur expérience sur Bâle 3 : 

  • Giancarlo Pellizzari, Head of Supervisory Statistics Division, Directorate General StatisticsEuropean Central Bank
  • Bruno Vial, Head of Quantitative ResearchCOFACE
  • Adel Harzi, Head of Capital ManagementDexia Group
  • Noureddine Lehdili, Deputy Head of Quantitative Analytics and Model ValidationNatixis

Pour vous inscrire ou pour plus d’informations, téléchargez le bulletin d’inscription ou contactez-nous par téléphone au 01 40 73 83 50 ou par email à contact@connaissance-network.com

Les formations éligibles au CPF

Le Compte Personnel de Formation (CPF) qui entrera en vigueur au 1er janvier 2015, est destiné à financer des formations obligatoirement qualifiantes et « correspondant aux besoins de l’économie prévisibles à court ou moyen terme », notamment celles qui sont inscrites au Répertoire national des certifications professionnelles, les certificats de branches, les formations permettant d’acquérir le socle de connaissances et compétences (maîtrise de la langue française, connaissances de base en mathématiques…).
CPFQu’il s’agisse des salariés ou des demandeurs d’emploi, les formations éligibles au CPF devront figurer sur des listes élaborées soit par les branches professionnelles, soit au niveau interprofessionnel par les partenaires sociaux qui ont négocié l’ANI (Accord National Interprofessionnel) du 14 décembre 2013, soit par les Régions.
Le CPF pourra également être mobilisé pour compléter une formation déjà partiellement acquise, notamment dans le cadre d’une Validation des acquis de l’expérience (VAE).

Les formations prioritaires : les langues et l’informatique

Pour les demandeurs d’emploi, le CPF a pour objectif de développer des compétences reconnues par l’administration comme étant « en tension » sur le marché du travail. Les chômeurs pourront choisir leur formation dans une liste prédéterminée par les pouvoirs publics. À noter que les compétences telles que les langues ou l’informatique font partie des compétences considérées comme « en tension » par l’administration. On en déduira que le nombre de formation en anglais devrait considérablement augmenter.

Des formations qualifiantes uniquement

Toutefois, les formations devront être « obligatoirement qualifiantes »  et liées au besoin de l’économie. Ces formations seront définies par l’État et les branches. Au terme de la formation, l’entreprise devra reconnaître la montée en compétence de l’intéressé.
Le salarié aura droit à un entretien d’évolution professionnelle tous les 2 ans (ainsi qu’après certaines périodes d’absence pour maternité, maladie…) avec une formalisation écrite tous les 6 ans.
S’il s’avère au bout de 6 ans, dans les entreprises de plus de 50 salariés, qu’un travailleur a été délaissé, il pourra bénéficier de 100 heures de formation en plus et partir à son gré en formation.
Dans les entreprises de plus de 300 salariés, le CE sera consulté sur les possibilités d’abondement au CPF. Dès leur entrée sur le marché du travail, les salariés pourront accéder à titre gratuit à un conseiller en évolution professionnelle. Les heures de DIF non utilisées seront reversées sur le CPF.
La contribution légale qui était fonction de la taille de l’entreprise change. La contribution devrait être la suivante : aucun changement pour les entreprises de moins de 10 salariés. Pour les entreprises de plus de 10 salariés, 1% de la masse salariale (contre 1,6 actuellement ou 1,05 pour les entreprises de moins de 20 salariés).

La liste des formations éligibles au CPF :

Le CPF pourra servir à financer des formations permettant d’acquérir des compétences “attestées” (qualification, certification, diplôme) en lien avec les besoins de l’économie et la sécurisation des parcours des salariés.

Les formations qui ne devraient plus être éligibles :

  • Le développement personnel pour les cadres et managers
  • Le développement personnel pour les non cadres
  • L’efficacité professionnelle

Les formations éligibles au CPF seront déterminées selon des listes établies par les partenaires sociaux d’ici la fin du mois d’octobre 2014. Employeur (en cas d’accord de branche allant dans ce sens) ou OPCA prendront en charge les frais de formation des salariés, et le FPSPP ceux des demandeurs d’emploi. Le compte sera géré par la Caisse des dépôts et consignations.

Quelle stratégie digitale pour les mutuelles et assurances ?

E-commerce et outils CRM au quotidien

Mardi 17 juin 2014 – Paris – Paris, Hôtel Marriott Champs-Elysées
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Cette matinale a pour objectif de vous présenter comment une compagnie d’assurance ou une mutuelle de santé peut optimiser son développement grâce à la mise en place d’une stratégie digitale et à l’utilisation de l’e-commerce et des outils CRM.

stratégie digitale

Durant ce petit-déjeuner, nous montrerons les différentes méthodes pour attirer les prospects via les différents canaux existants (Web, Smartphone, comparateurs, publicité en ligne, achat de fichiers …).
Nous expliquerons les stratégies, techniques et outils permettant de s’assurer de transformer le plus de prospects possible en clients.  Enfin nous aborderons les outils utilisés pour mesurer la performance et l’améliorer. Bénéficiez du retour d’expérience de Smatis dans tous ces domaines.

Parmi les thèmes abordés :

  • Comment attirer les prospects (e-mailing, Adwords, comparateurs…) ?
  • Comment convertir des visiteurs en prospects qualifiés ?
  • Comment transformer les prospects en clients ?
  • Comment mesurer son efficacité commerciale avec Google Analytics et une solution de Business Intelligence ?
  • Comment créer des campagnes marketing à partir de ma base client ?

Les intervenants spécialistes de la stratégie digitale :

  • Yannis Murguet, Marketing digital – Smatis
  • Sylvain Boutin, Stratégie marketing et développement commercial – Smatis
  • Stéphane Traumat, Dirigeant – Square Solutions

Pour plus d’informations ou pour vous inscrire à ce petit-déjeuner consacré à la stratégie digitale des mutuelles et assurances, contactez-nous par téléphone au 01 40 73 83 50, par email à contact@connaissance-network.com, ou téléchargez directement le bulletin d’inscription.

Journée d’actualité : lutte contre la criminalité financière

Lutte contra la criminalité financière : contrainte absolue ou source d’opportunité pour les institutions financières ?

Vendredi 20 juin 2014 – Hôtel California Champs-Élysées – Paris

La lutte contre la criminalité financière et organisée est devenue un sujet majeur pour les acteurs de l’Industrie Financière ! Le poids que représentent les obligations de conformité avec les lois, directives, réglementations nationales et internationales (parfois en contradiction) peut être interprété en termes de coût : coût de la veille réglementaire, coût de l’organisation à mettre en place (pour se mettre en conformité, pour former, pour contrôler), coût lié aux sanctions…
Criminalité financièreMais ces obligations de conformité peuvent également être perçues comme étant une source d’opportunité pour l’entreprise : choix stratégiques, remise en cause organisationnelle (revue des processus…), élévation du niveau de culture de la compliance, avantage concurrentiels durables, image auprès du public…
Durant cette journée, à travers une alternance d’exposés et de débats sur des thèmes définis en étroite collaboration avec les intervenants, Connaissance Network vous propose d’aborder les thèmes suivants :

  • Les dernières évolutions réglementaires relatives aux procédures de la lutte contre la criminalité financière
  • Géopolitique de la criminalité financière
  • Les impacts de la 4ème directive : point de vue depuis l’étranger
  • L’évolution des dispositifs de lutte contre la criminalité financière
  • Le traitement de l’information financière
  • Les problématiques liées aux procédures de KYC Focus : démystifier le Trust

L’objectif de ce séminaire est de cristalliser les avancées sur les méthodes, outils et organisation de lutte contre la criminalité financière et organisée sous forme de retours d’expérience sur des cas concrets dans l’Industrie Financière.
Télécharger le programme complet de la journée d’actualité

Parmi les experts qui partageront leur point de vue et leur expérience sur la lutte contra la criminalité financière : 

  • Bruno Nicoulaud, Chargé de mission, Délégation Nationale à la Lutte contre la Fraude (DNLF)  
  • Guillaume Bègue, Membre du Centre de Recherche Sorbonne France, Paris – 1 Panthéon Sorbonne
  • André JacquemetMembre du Grasco et EnseignantAssocié du cabinet BPA
  • Éric PercheronSecrétariat Général, Conformité des Services d’Investissement & Lutte Anti-BlanchimentCrédit du Nord 
  • Philippe GréatResponsable outils et projets LAB – LFTGroupama SA 
  • Laurent RenaudotSénior ManagerAudisoft Oxéa

Pour vous inscrire ou pour plus d’informations, téléchargez le bulletin d’inscription ou contactez-nous par téléphone au 01 40 73 83 50 ou par email à contact@connaissance-network.com